On pourrait comparer l’arborescence d’un site web à la colonne vertébrale de celui-ci : elle relie toutes les pages du site internet et les alignes sur une structure claire. Cela permet d’éviter que le site web devienne confus pour les utilisateurs et, à terme, perde en visibilité dans les résultats de recherche.
Ainsi, une arborescence site web optimisée, un fil d’Ariane et un plan de site facilitent la navigation, mais ils permettent également d’améliorer le référencement naturel SEO (Search Engine Optimization) grâce au maillage interne et de réduire le taux de rebond.
Qu’est-ce que l’arborescence d’un site web ?
Définition et rôle dans la structure d’un site
L’arborescence d’un site web désigne la structure de celui-ci, la manière dont les pages web sont organisées et reliées entres elles, et ce, de la page d’accueil aux sous-pages. Cette organisation hiérarchique fonctionne donc comme un squelette ou une carte routière, permettant aux internautes, mais aussi aux moteurs de recherche, de facilement se repérer sur le site. De plus, elle établit les liens internes entre les pages, permettant de créer un réseau de connexions, qui viennent renforce la cohérence globale du site internet.
En pratique, une arborescence peut être vue comme une hiérarchie à plusieurs niveaux. Ainsi, la page d’accueil est située au premier niveau, puis viennent les pages catégories principales au second niveau, les sous-catégories au troisième niveau, et finalement les pages individuelles. Grâce à une telle organisation pyramidale, la compréhension par les moteurs de recherche est facilitée, ce qui permet de distribuer efficacement l’autorité SEO. Par ailleurs, les sites bien structurés affichent généralement des taux de rebond de 30 à 40 %, contre 60 à 70 % pour les structures qui pourraient être vues comme désorganisées.
On peut donc dire qu’une arborescence efficace garantit que chaque contenu est accessible, indexable et contribue à la stratégie SEO globale.
Pourquoi l’arborescence est essentielle pour le SEO et l’expérience utilisateur ?
Un levier pour améliorer le référencement naturel
L’arborescence joue un rôle stratégique dans le référencement naturel en facilitant la compréhension du site par les moteurs de recherche. Une structure claire permet au Googlebot de parcourir les pages sans obstacle, d’identifier les priorités et de mieux indexer les contenus essentiels. Plus la hiérarchie est logique et fluide, plus le crawling est efficace, et plus vos pages ont de chances d’apparaître dans les premiers résultats de recherche.
Le maillage interne constitue un élément central de cette optimisation. En reliant entre elles les pages selon leur thématique et leur importance, il distribue intelligemment la popularité SEO à travers le site. Les pages clé gagnent en autorité lorsqu’elles reçoivent plusieurs liens internes pertinents. Les études SEO montrent qu’une refonte de la structure interne peut augmenter le trafic organique de 20 à 30%, voire davantage lorsqu’elle est couplée à une optimisation sémantique.
Une bonne arborescence agit aussi sur la pertinence sémantique. En regroupant vos pages autour de thèmes cohérents (par produits, services ou intentions de recherche), vous aidez Google à comprendre la spécialisation de votre site. Cette logique de silos thématiques favorise non seulement le classement sur des mots-clés principaux, mais renforce aussi la visibilité sur des requêtes longues traînes connexes.
Exemple : Arquen se positionne entre la position 1 et 3 sur google sur le mot clé Audit UX.
Pour parvenir à ce résultat, nous avons conçu trois pages autour du mot clé pour créer un petit cocon sémantique et obtenir du trafic longue traîne sur d’autres mots clés.
Template audit ux (2ème) : https://www.arquen.fr/blog/template-checklist-audit-ux/
Audit ux writing (1er) : https://www.arquen.fr/blog/audit-ux-writing-le-guide/
Exemple audit ux (1er) : https://www.arquen.fr/blog/exemple-audit-ux-wurth-modyf/
Chacune de ses 3 pages renvoie un lien interne à la page mère principale, favorisant son positionnement.
Enfin, la profondeur des pages influe directement sur leur performance SEO : plus une page se situe loin de la page d’accueil, moins elle attire de trafic. Restreindre la structure à trois niveaux de clics maximum assure que chaque page stratégique reste accessible et donc prioritaire pour l’indexation. En résumé, une arborescence claire facilite le crawl, renforce la cohérence sémantique et maximise la visibilité organique du site.
Un pilier de l’expérience utilisateur (UX)
L’arborescence crée un environnement de navigation fluide et intuitif, créant ainsi une structure claire qui permet de réduire la charge cognitive et tout en aidant les visiteurs à trouver l’information sans frustration. Nous avons constaté que les sites qui optimisent leur arborescence voient généralement une augmentation du taux de conversion de 20 à 30%, car les visiteurs atteignent plus facilement les pages décisionnelles.
De plus, il faut savoir que la navigation intuitive prolonge les sessions : les sites avec une arborescence optimisée enregistrent une durée de visite supérieure de 40% à celle des sites désorganisés. Ainsi, le fil d’Ariane illustre l’intersection entre UX et SEO en affichant le chemin parcouru, créant des liens internes additionnels et réduisant le taux de rebond.
| Critères | Arborescence optimisée | Arborescence désorganisée |
| Navigation | Fluide et intuitive | Confuse et complexe |
| Indexation | Rapide et complète | Lente et incomplète |
| Taux de rebond | Réduit (30-40%) | Élevé (60-70%) |
| Conversion | Augmentée (+20-30%) | Diminuée (-30-40%) |
| SEO | Amélioration significative | Pénalisé par Google |
Comment créer l’arborescence d’un site web étape par étape ?
Étape 1 : analyser vos contenus et vos objectifs
Lors de la création d’une arborescence, afin de la rendre performante, il faut commencer par un inventaire exhaustif des pages et informations que le site doit contenir. Ainsi, si votre site est déjà en ligne, cartographiez les pages qui génèrent du trafic et convertissent les utilisateurs. D’un autre côté, au moment de la création de site, commencez plutôt par lister tous les contenus nécessaires aux objectifs business. Ensuite, identifiez les catégories naturelles en regroupant les pages par thématiques connexes, en pensant à la fois du point de vue de l’ entreprise et des utilisateurs.
C’est également au cours de cette phase que la recherche de mots clés s’intègre. Vous devrez alors identifier les termes que les utilisateurs tapent pour trouver vos contenus. Cette approche SEO garantit que l’arborescence répond aux intentions de recherche. En effet, travaillez un mot clé sur lequel il n’y a pas de recherche n’est pas pertinent. C’est pourquoi sur notre site Arquen, nous avons supprimé de notre blog toutes les pages qui avaient 0 de trafic ou ciblant un mot clé sans volume. Grâce à ce nettoyage, nous avons vu une augmentation du nombre de mots clés en première page Google car le pagerank interne était moins dilué. (octobre 2024 79 mots clés en top 10, 175 mots clés top 10 en octobre 2025 – source SEMRUSH)


Enfin, définissez les objectifs business pour prioriser les pages stratégiques dans la hiérarchie et analysez les parcours utilisateurs pour concevoir des chemins de navigation adaptés à chaque segment, garantissant que la structure finale servira efficacement tous les profils de vos visiteurs.
Étape 2 : définir la hiérarchie et la structure
Après l’analyse des contenus et objectifs, il est important de définir la hiérarchie et la structure. Commencez donc par organiser les contenus en niveaux logiques reflétant l’importance de chaque page. Ainsi, la page d’accueil donne accès aux catégories principales qui constituent les piliers thématiques du site, tandis que les sous-catégories de niveau trois affinent la segmentation en groupes spécifiques, permettant aux visiteurs de progresser naturellement d’une page à l’autre, du général vers le particulier.
Nous vous conseillons de limiter la profondeur à trois clics maximum de la page d’accueil selon les meilleures pratiques SEO. Et pour les grands sites, augmentez le nombre de catégories au niveau deux plutôt que de multiplier les sous-niveaux.
Rappellez-vous : chaque catégorie représente une étape dans le parcours utilisateur vers l’objectif final et les URLs doivent refléter cette hiérarchie (domaine.com/categorie/sous-categorie/page) pour renforcer la cohérence de l’architecture informationnelle.
Étape 3 : visualiser l’arborescence avec un outil
L’étape suivante consiste à visualiser l’arborescence à l’aide d’outils de création, qui matérialisent la hiérarchie sous forme de diagrammes interactifs, permettant de révéler immédiatement les déséquilibres structurels.
Il existe plusieurs options, telles que GlooMaps, qui est l’option gratuite la plus populaire avec export en PDF, PNG ou XML. De son côté, FlowMapp offre des fonctionnalités collaboratives avancées, incluant notamment wireframes et commentaires en temps réel. Ensuite, vous avez Dynomapper, qui intègre Google Analytics afin d’incorporer des données de performance au sein de votre visualisation. Enfin, Miro propose des tableaux blancs virtuels, l’idéal pour un brainstorming collaboratif.
Suite à cela, la validation collaborative permet de révéler les incohérences ou opportunités d’amélioration. Cette phase permet donc de simuler des parcours utilisateurs types et de vérifier que la structure répond aux besoins identifiés, tout en planifiant une mise à jour régulière pour l’améliorer.
Checklist : créer une arborescence en 3 étapes
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Bonnes pratiques pour une arborescence SEO-friendly et orientée UX
Hiérarchiser sans complexifier
Une arborescence performante repose sur trois principes fondamentaux, à savoir la simplicité, la cohérence et l’accessibilité. Ainsi, limiter la profondeur à trois clics depuis la page d’accueil demeure la règle d’or pour garantir un accès rapide aux contenus importants, sans pour autant submerger l’utilisateur. En effet, plus un utilisateur atteint facilement son objectif, meilleure sera son expérience et plus faibles seront les taux de rebond. Par conséquent, chaque page doit remplir un rôle précis, que ce soit informer, vendre ou engager, et cibler un nombre restreint de mots-clés bien définis, et ce, afin de maximiser la lisibilité SEO ainsi que l’efficacité de la navigation.
De plus, les pages orphelines, non liées à la structure globale, doivent être traquées et intégrées via un audit régulier. Et il ne faut pas oublier que trop de liens dans le menu principal nuisent également à la clarté du parcours utilisateur. Nous vous conseillons ainsi de privilégier cinq à sept catégories claires, complétées par des sous-menus logiques.
Enfin, l’équilibre entre largeur et profondeur reste crucial. En effet, une arborescence trop vaste dilue la concentration, alors qu’une arborescence trop profonde fatigue le visiteur. Généralement, une répartition de quatre à six catégories principales, chacune regroupant plusieurs sous-catégories, représente une structure stable, intuitive et adaptée aux besoins des utilisateurs comme aux contraintes de référencement.
Utiliser un maillage interne intelligent
Le maillage interne pourrait être comparé au système sanguin du site, car il stimule la circulation de l’autorité et la découverte des contenus. Ainsi, il aide les moteurs de recherche à comprendre les relations entre les pages et oriente les visiteurs vers des informations complémentaires. C’est pour cela que chaque lien interne doit avoir une fonction utile : informer davantage, accompagner la conversion ou faciliter la navigation vers des contenus connexes. De plus, les ancres des liens doivent être explicites, éviter la répétition excessive et intégrer naturellement les mots clés associés à la page de destination.
Afin d’aider ce maillage interne, le fil d’Ariane est un élément clé qui permet de suivre le parcours logique depuis la page d’accueil, tout en fournissant à Google un contexte sémantique clair sur la hiérarchie des pages, que ce soit la présentation de l’entreprise, la page de contact ou autre. Ainsi, intégré avec le balisage schema.org, il améliore la visibilité dans les SERP et augmente le taux de clics.
Notez que dans une arborescence bien pensée, les pages de conversion ou à forte valeur stratégique bénéficient de davantage de liens internes, tandis que les contenus de soutien assurent la cohérence des thématiques. Et pour maintenir cette logique sur le long terme, l’automatisation du maillage est un atout : les CMS modernes intègrent des modules (comme LinkWhisper) proposant automatiquement des liens contextuels pertinents. Cependant, le meilleur maillage reste hybride, c’est-à-dire qu’il allie automatisation et ajustement manuel, afin de conserver la pertinence et d’éviter les doublons inutiles.
Garder une cohérence sémantique
La cohérence sémantique assure la logique globale de l’arborescence ainsi que sa crédibilité aux yeux de Google. Ainsi, en regroupant les contenus similaires selon un thème central, vous créez des silos thématiques, véritables piliers de votre autorité sur des sujets précis. Ces silos facilitent effectivement la navigation, améliorent la compréhension du site et renforcent sa capacité à se positionner sur un ensemble cohérent de requêtes liées. De même, l’utilisation de mots clés pertinents dans les titres, les menus et les URLs crée un fil conducteur naturel à la fois pour les utilisateurs et pour les moteurs de recherche.
Mais il faut noter que la cohérence s’appuie également sur le langage. Vos intitulés de menu doivent ainsi employer le champ lexical des recherches réelles de vos utilisateurs et bannir le jargon interne ou les termes trop techniques au profit d’expressions claires et universelles. Rappellez-vous toujours de ceci : une arborescence intuitive est celle où l’utilisateur “devine” instinctivement où cliquer.
Enfin, éviter la duplication de contenu pour votre site vitrine est primordial et chaque page ne doit appartenir qu’à une seule catégorie. Pour cela, lorsque le contenu concerne plusieurs thématiques, définissez une page canonique principale et reliez les autres via des liens internes ciblés, ce qui est essentiel dans la création d’arborescence de site. Et si vous avez un site d’e-commerce, privilégiez des filtres et facettes pour naviguer sans fragmenter la structure.
Pour conclure, sachez qu’une arborescence sémantiquement cohérente apporte une double récompense : une compréhension parfaite par Google et une navigation fluide et rassurante pour vos visiteurs.
À retenir : 5 critères d’une arborescence réussie
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Comment maintenir et mettre à jour l’arborescence de votre site ?
Adapter la structure en fonction des évolutions
L’arborescence d’un site internet n’est pas figée et doit évoluer en même temps que les besoins business, mais surtout en accord avec les comportements utilisateurs. Ainsi, l’ajout de nouvelles offres, le lancement de produits ou l’expansion vers de nouveaux marchés nécessitent des ajustements structurels planifiés soigneusement. Dans de tels cas, une approche progressive minimise les risques en testant les changements sur des segments limités avant le déploiement complet.
Quant aux refontes complètes, elles offrent l’opportunité de corriger les erreurs structurelles et de moderniser l’ architecture. Cependant, sachez qu’une refonte mal gérée peut détruire l’optimisation SEO : chaque page qui change d’URL doit bénéficier d’une redirection 301 pour transférer l’autorité et préserver les classements. De plus, les changements de stratégie marketing peuvent nécessiter une réorganisation, par exemple passer d’une structure par type de produit à une structure par usage selon les comportements de recherche observés. Enfin, notez que la veille concurrentielle révèle des approches innovantes, mais copier sans adapter aux spécificités de son audience peut mener à des incohérences.
Suivre les performances UX et SEO
Le suivi régulier des performances constitue la base d’une maintenance proactive de l’arborescence. En effet, les Core Web Vitals mesurent la qualité de l’ expérience utilisateur en termes de vitesse, d’interactivité, mais aussi de stabilité visuelle. Quant au taux de rebond par section, il révèle les branches problématiques : les sites optimisés maintiennent des taux entre 30 et 40%, contre 60-70% pour les structures désorganisées. Afin de vous aider, l’analyse des flux de comportement dans Google Analytics montre les parcours réels et identifie les écarts entre la structure planifiée et l’usage effectif.
De plus, les outils d’audit SEO comme Screaming Frog, Ahrefs ou Google Search Console identifient les pages orphelines, les redirections, les erreurs 404, mais également les contenus dupliqués. Ainis, nous vous conseillons un audit trimestriel afin de détecter ces problèmes avant qu’ils n’impactent le référencement. Et pour aller plus loin, les tests utilisateurs et les cartes de chaleur révèlent les points de friction invisibles dans les données analytiques : hésitations devant un menu ambigu, confusion face à des libellés peu clairs. Ces insights guident les optimisations pour améliorer l’intuitivité de la structure.
| Fréquence | Objectif | Indicateur principal |
| Mensuelle | Détection problèmes techniques | Pages orphelines, erreurs 404 |
| Trimestrielle | Optimisation performances | Core Web Vitals, budget crawl |
| Semestrielle | Adaptation contenus | Taux de rebond, parcours utilisateurs |
| Annuelle | Refonte stratégique | Alignement objectifs business, veille concurrentielle |
Vous souhaitez en savoir plus sur l’arborescence de votre site web ou vous faire aider afin de mettre en place efficacement la structure de votre site web ? N’hésitez plus et contactez Arquen, consultants UX experts depuis 2017, afin d’obtenir des conseils et une aide personnalisée.
FAQ sur l’arborescence d’un site web
Quelle est la différence entre l’arborescence et le plan de site ?
L’arborescence d’un site web représente la structure hiérarchique conceptuelle de celui-ci pour les utilisateurs. De son côté, le plan de site, ou sitemap, est un fichier technique listant les URLs, afin de faciliter leur indexation par lex moteurs de recherche.
Les deux ont donc des objectifs différents, mais restent complémentaires.
Comment tester si l’arborescence de mon site est efficace ?
Afin de tester l’arborescence d’un site web, nous vous conseillons de combiner à la fois tests utilisateurs, tree testing et analyses métriques Google Analytics, pour le taux de rebond et la profondeur de navigation. De plus, un audit SEO technique pourra vous aider à vérifier la bonne indexation de vos pages.
Quels sont les meilleurs outils pour créer une arborescence ?
Afin de créer une arborescence, il existe plusieurs outils disponibles, dont :
GlooMaps : solution gratuite et simple, avec export PDF et PNG.
FlowMapp : solution proposant des fonctionnalités collaboratives avancées.
Dynomapper : solution intégrant Google Analytics, pour une approche plutôt data-driven.
Miro : solution plutôt utile pour les phases de brainstorming collaboratif.
Le choix dépend de vos préférences, mais aussi de votre budget et de leur complexité.
Combien de niveaux doit contenir une arborescence de site web ?
Idéalement, une arborescence de site web devrait se limiter à 3 niveaux principaux, afin de respecter la règle des trois clics. Cette structure permet de garantir un accès rapide aux pages importantes, tout en distribuant l’autorité SEO efficacement.
Notez qu’un quatrième niveau reste acceptable sur les très grands sites, souvent pour les contenus secondaires.
Comment optimiser l’arborescence d’un site e-commerce ?
Si vous souhaitez optimiser l’arborescence de votre site e-commerce, nous vous conseillons alors de :
Structurer selon les comportements d’achats, à savoir prix, marque et catégorie.
Utiliser des filtres pour multiplier les parcours, sans pour autant dupliquer le contenu.
Positionner vos produits rentables stratégiquement, à l’aide de chemins courts depuis votre page d’acceuil.
Intégrer un fil d’Ariane de façon à faciliter la comparaison de produits.
À quelle fréquence faut-il mettre à jour l’arborescence du site ?
Nous vous conseillons un audit annuel si votre site web est stable, avec des révision semestrielles pour les sites dynamiques. De plus, une analyse trimestrielle des performances peut être une bonne idée pour détecter les problèmes émergents, et un monitoring mensuel des indicateurs clés vous aidera à remarquer les pages orphelines et erreurs.
Notez qu’en cas de refonte, une réévaluation complète et immédiate de votre arborescente est nécessaire.
L’arborescence influe-t-elle sur le référencement local ?
Oui, une structure avec pages dédiées par localisation (région, ville) aide Google à comprendre la couverture géographique. Le fil d’Ariane avec localisation et le balisage renforcent les signaux géographiques et améliorent la visibilité dans les recherches locales et Google Maps.
Comment relier UX et SEO dans l’organisation de son arborescence ?
Une arborescence claire sert à la fois l’UX et le SEO : elle facilite la navigation pour les utilisateurs tout en aidant Google à comprendre la structure du site. Une bonne organisation réduit donc le taux de rebond, améliore la visibilité et renforce la cohérence des contenus. Ainsi, concevoir d’abord pour l’expérience utilisateur, puis optimiser techniquement, assure une performance durable.